Salle comble pour le premier tome des États Généraux du Livre : pour que ce ne soit pas le début de la fin, continuons !
Comme l’a dit Pascal Ory, président du CPE, « Il n’y a pas de mobilisation, il n’y a que des preuves de mobilisation », cette après-midi du 22 mai 2018 en a été une, sans aucun doute possible.
Merci à celles et à ceux qui ont répondu présents à cette première journée de discussions :
– Les auteurs d’abord, dont la parole a été engagée et précieuse,
– Les représentants de la Culture, de Bercy, du Parlement et des Institutions qui ont accepté de prendre la parole, qui ont écouté, et peut-être même, ENTENDU, nos préoccupations.
Nous déplorons cependant l’absence des membres du gouvernement et des représentants des Affaires sociales. Un rendez-vous a été pris le 21 juin avec ces derniers : que cela soit ENFIN le premier volet d’une concertation indispensable ! Car les États Généraux ont confirmé ce que nous pressentions : personne n’a aujourd’hui les réponses à nos questions et on se demande bien qui y travaille.
Les sujets sont nombreux, les questions diverses, mais, d’une seule voix, nous avons proclamé l’importance de la reconnaissance des spécificités du métier d’auteur et de leur nécessaire prise en compte dans le cadre des réformes en cours et à venir.
Le compte-rendu complet des échanges sera disponible très bientôt.
Tome 2 à paraître !